lundi 16 janvier 2012

techniques d'expression ecrite et orale

II- Expression Orale et exposé.
C’est à la langue que l’on reconnait le régime. Heinrich Mann (1871-1950).
La notion de rhétorique vient du grec et signifie art aratoire. L’art oratoire ne peut jamais remplacer un savoir profond et basé sur le contenu. Mais il est nécessaire pour transmettre de m     manière optimale un contenu aux auditeurs. Le discours libre, une façon convaincante de parler et une bonne argumentation sont des aptitudes qui peuvent s »apprendre. L’art oratoire est un travail de relations publiques pour soi même. Cela se rapporte aussi bien à l’articulation contenu d’un discours qu’à la forme de présomption adoptée par l’orateur.
Toute personne qui s’exprime en public et trouve un auditoire qui l’écoute dispose d’un pouvoir. Toute relation avec le pouvoir est liée à une responsabilité morale particulièrement.
Quiconque  veut aujourd’hui motiver et appeler les citoyens à participer à l’organisation de la société ne peut le faire que par le biais du discours. Aussi la rhétorique  et la conscience démographique sont-elles deux facteurs qui sont en rapport étroit l’un avec l’autre et qui sont liées à des normes  éthiques. L’attitude éthique de base de l’orateur doit par conséquent viser :
-          A prendre au sérieux les intérêts des auditeurs ;
-          A se sentir obligé de faire de bonnes recherches sur le sujet ;
-          A parler avec  sérénité, c-a-d sans manipuler ou informer de façon partiale.
Quels sont le secret de certains discours qui nous passionnent pendant que d’autres sont ennuyeux à mourir.
L’effet d’une présentation publique dépend de :
-          50% d’expression corporelle : Posture – Geste – Mimique- contact visuel –Voix
-          50% d’expression orale : articulation – argumentation – force d’expression – discours facile à retenir.
L’orateur qui se concentre exclusivement sur la contenu de son discours et qui ce faisant néglige son expression corporelle renonce à 50%  de ses possibilités d’obtenir un effet positif. Il est de même pour toute personne qui croit pouvoir, grâce à une utilisation théâtrale de son corps «  tricher » et faire passer le contenu mal ficelé de son discours.



De la communication à l’information.
De la communication : Selon Anzieu/ Martin « la communication est l’ensemble des processus physiques et psychologiques par lesquels s’effectue la mise en relation d’un  ou plusieurs individus en vue d’atteindre certains objectifs.
Il ya donc communication dès lors qu’il y échange de sens, de signification : toute communication s’inscrit dans un processus d’ordre social.
-          Toute communication est une interaction.
Différentes situations peuvent être considérées :
-          Individu – Individu
-          Individu –Objet 
-          Individu – Situation
-          Individu – Groupe
-          Groupe – Groupe
-          Groupe – Individu
Toute communication produit une transformation.
Toute communication s’inscrit dans un processus d’influence dont les différents aspects sont regroupés  sous la notion d’influence sociale.
Information : pour définir l’information, l faut savoir qu’il existe deux paramètres à ne pas perdre de vue : la dimension objective et la dimension subjective.
L’information peut se définir de manière objective. Il s’agit de tout ensemble de données propre à revêtir un sens particulier pour un utilisateur.
Dans le cadre de la définition objective, on mettra l’accent sur la généralité de l’information considérée. Toute donnée porteuse de sens, pour tout un chacun sera qualifiée d’information. Ainsi un article de journal présentant des évènements d’actualité sera-t-il considéré comme  une information, ou si l’on préfère un morceau de ce qu’on  appellera globalement, l’information.  Il s’agit ici de la terminologie anglo-saxonne qui désigne par News (les nouvelles) l’information et piece of news (mot-à-mot morceau de nouvelles) : une information. Pour les anglo-saxons  l’information est une réalité générique dont on extrait un petit morceau. Ce type de définition connait ses limites. C’est pourquoi on préfère aujourd’hui adopter une définition plus subjective.
A côté de cette définition objective de l’information, une approche plus féconde à nos yeux consiste à considérer que tout peut être information. Mais que c’est uniquement le regard porté sur un objet qui le rend porteur d’information. Cette conception est éminemment subjective, puisque ce n’est plus l’objet en lui-même (l’article de journal visé dans la définition objective) qui est porteur, en tant qu’objet, d’information, mais c’est  le regard qui est créateur d’information ou  plutôt de sens.
Cette approche défendue notamment par Eric Sutter  et Jean Michel est plus riche de conséquences et plus englobante. Dans ce cas n’est pas information pour moi que ce à quoi  je m’intéresse. C’est  vrai dans bien de cas. Si par exemple je ne suis pas juriste, je ne m’intéresse pas aux articles de droits  mais je me jetterais par exemple sur la chronique cinématographique. Le cinéma étant la seule raison de vivre…
Cette définition subjective défie un peu plus les questions de modélisation et de tarification de la valeur de l’information. Car chacun pourra construire son échelle de valeurs des informations en fonction de ses centres d’intérêts.
Au vu de cette définition on peur préciser que les enjeux et les objectifs de la communication sont multiples et variés. 
   


















III- Stratégie  et panorama des différents outils de communication
III-1. Communication directe face à face avec la cible.
Individu et les différents rapports :
La communication ne peut se comprendre qu’en fonction d’un certain nombre de rapports que l’on entretien avec : 
-          Le langage.
-          Soi-même
-          Les autres
-          L’ensemble du monde extérieur.
1.1           - Le rapport au langage.
Toute langue a une structure particulière qui régit sur la pensée elle-même.
Tous les francophones ont donc en commun certain rapport au langage. Il peut être vécu comme un instrument permettant d’avoir un certain ascendant sur les autres ou au contraire permettant aux autres de vous dominer. Ainsi le rapport que l’on entretien avec le langage est en relation avec l’image que l’on se fait de l’autorité et même de la structure sociale toute entière.
1.2- Le rapport avec soi-même :
Une fois que l’on a fait siennes les différentes règles qui s’appliquent à une langue et qui sont communes à son groupe social (tout groupe social a une façon particulière de parler qui lui sert de signe de reconnaissance), on ne parle qu’en fonction de ce que l’on est soi-même et de façon dont se perçoit.
Exemple :   Une personne extravertie parlera fort et fera beaucoup de gestes.
                        Une personne plus extravertie parlera plus posément d’une voix faible et plus sourde et fera peu de gestes.
On s’utilise aussi soi-même comme instrument : l’expression orale peut être considérée comme une technique instrumentale :
-          Le corps
-          La voix
-          Les gestes
-          Les postures
Sont les instruments par lesquels on s’extériorise.
Les principales difficultés que l’on rencontre résident dans l’image infériorisée que l’on peut avoir de soi qui se traduisent par la timidité. 
1.3- Le rapport avec les autres
La façon dont on s’exprime dépend de la façon dont on perçoit et en particulier au travers des statuts et des rôles. Ainsi on n e parle pas de la même façon à :
-          Frère
-          Mère
-          Ami
-          Collègue
-          Supérieur hiérarchique.
Si nous avons l’impression que les autres nous sont supérieurs qu’ils nous jugent, notre façon de nous exprimer en sera affectée.
Le rapport aux autres réagit sur le rapport à soi-même et inversement.
La principale difficulté là aussi réside dans la façon dont on imagine que les autres nous perçoivent. On a l’impression :
-          D’être peu considéré
-          D’être jugé
-          De ne pas susciter ou retenir l’intérêt.
On croit parfois que les autres nous sont supérieurs ; qu’ils expriment mieux que nous-mêmes ce que nous voudrions dire.
1.4- Le rapport au monde extérieur :
Nous sommes insérées dans des structures économiques, politiques et sociales qui nous influencent et avec lesquelles nous entretenons certaines relations type :
-          Accord
-          Acceptation
-          Compromis
-          Négociation
-          Refus
-          Révolte.
Ce type de relation influe fortement sur notre mode de communication.




III.2 Quelques techniques d’expression orale.

2.1- La respiration :
Elle conditionne la bonne émission du son.
Elle favorise la détente musculaire et nerveuse
Elle est nécessaire à la mise ne œuvre de la fluidité mentale et verbale.

On constate trois types de respirations :
-          La thoracique :
o   Ouverture de la cage thoracique par l’élargissement des côtes seulement.
o   C’est la respiration la plus connue, celle sur laquelle on concentre son attention automatiquement quand on nous dit de respirer à fond.
-          Ventrale :
o   Le volume de la cage thoracique s’accroit par l’abaissement du diaphragme.
o   On prend conscience de cette respiration en s’allongeant sur le dos  en plaçant une main sur le son ventre et en gonflant son ventre par sa respiration : la main est soulevée.
-          Costale :
o   C’est le bas des cotés qui se soulève.
o   On prend conscience de cette respiration en bloquant les précédentes. Pour ce faire, s’assoir sur une chaise à califourchon les épaules appuyées sur le dossier, les bras ballants.
La respiration complète intègre ces trois types de respiration, ce qui n’est pas synonyme de respiration maximum ; on ne doit jamais avoir l’impression de forcer.
Les Positions qui favorisent la respiration :
-          Lorsqu’on est assis dernière une table (laisser la cage thoracique libre ; proscrire les bras croisés ; considérer la colonne vertébrale comme un axe vertical (le mat d’un bateau) et éviter de se pencher trop avant ou en arrière.
-          Que l’on soit assis ou debout toutes les positions fermes sont à proscrire.
Savoir respirer…cela paraît tellement évident. Et pourtant le contrôle de la respiration demande un véritable apprentissage. Sans un minimum de contrôle sur la respiration aucune expression harmonieuse de soi n’est possible.
La respiration représente le temps de l’écoute et de la réflexion. A l’inverse, l’expiration correspond au moment ou la parole s’exprime. Ce n’est pas parce que vous faites un discours que vous êtes dispensé d’écouter  les réactions de votre auditoire. Les réactions de votre auditoire (émotions, silence de mort, jubilation plaisir etc…) Ecouter votre auditoire pourra vous inspirer et vous éviter de déraper.
2.2 - La voix.
Elle est le véhicule du message oral. Selon  les individus, les dimensions, la forme et la texture des :
-          Cordes vocales
-          Os et cartilages
-          Muscles
-          Le timbre de voix sera différent on trouve généralement :
-          Les voix de gorge (basses)
-          Les voix de masque (appuyées)
-          Les voix de tête (élevées).
Pour trouver son timbre, il faut fermer la bouche et produire le son (HM) sorte de (HEIM). Cette onomatopée donne le timbre de la voix en faisant vibrer les différentes parties de la tête.
Le timbre se travaille mais varie peu. En revanche la nécessité pour un orateur consiste bien placer sa voix.
La voix se caractérise aussi par :
-          l’intensité.
-          C’est la force la puissance avec laquelle on s’exprime. Il convient d’adapter l’intensité de la voix au volume de l’espace de prise de parole et à la disposition de l’auditoire dans cet espace.

-         L’intonation :
C’est le mouvement mélodique de la vois caractérisé par des variations de hauteur.
Par exemple dans la phrase interrogative, il y a une variation montante vous m’entendez ?
Enfin de phrase affirmative, la voix a tendance à tomber : nous allons présenter les inconvénients.
En public ; il est indispensable de varier les intonations afin de capter l’attention de l’auditoire

-         Le débit :
C’est la vitesse à laquelle on s’exprime. Souvent le trac amène une accélération excessive du débit.
Il faut donner du mouvement à l’expression en variant les rythmes, en évitant l’uniformité en usant du contraste.
Pour cela :
-          respirer entre les phrases
-          Ménager des pauses pour reprendre le souffle
-          Utiliser le silence.
Ces trois éléments constituent le SYSTEME VOCAL d’un individu et son spectre vocal qui lui est propre (plus faible que les empreintes digitales pour différencier deux individus).
La voix se caractérise aussi par :
-          La largeur du parler, en allongeant les voyelles, en appuyant sur les syllabes longues et les diphtongues, on peut parler plus loin.
-          L’accent il est basé sur les voyelles.
-         L’articulation.
C’est le détachement et l’enchainement correct des sons et en particulier la netteté des consonnes.
Elle peut être déficiente sur les.
- syllabes d’attaque ;
- syllabes finales ;
- syllabes finales.
Une mauvaise articulation conduisant la fusion de deux syllabes consécutives peut provoquer une amphibologie (ambigüité équivoque) ex il frappa à la porte.
-          Le Rythme :
 Les changements de rythmes donnent à la prise de parole sa dynamique, ils évitent la monotonie. Ils sont donnés par la :
o   La ponctuation
§  La ponctuation parlée n’a rien à voir avec la ponctuation écrite.
§  Lorsqu’on parle on peut s’arrêter à tout moment
§  Elle apporte le confort de l’écoute
§  Elle donne du poids aux mots et aux gestes.

o   La modulation :
Le ton de la voix varie en jouant sur les inflexions en prenant appui sur certains mots certaines syllabes. On peut prendre appui :
§  Sur le mot sujet ou complément,
§  Sur le verbe qui définit l’action
§  Sur les mots outils (article, conjonction, pronom
§  Exemple : 
·         IL ouvre la porte
·         Il OUVRE la porte
·         Il ouvre LA porte
·         Il ouvre la PORTE

o   L’utilisation des silences :
§  Il parait toujours plus long pour celui qui e fait que pour ceux qui l’écoutent.
§  Il permet la fluidité verbale
§  Il permet la respiration
§  Il valorise le geste
§  Il donne le temps de regarder l’auditoire.

-          La Répétition.
Si la répétition est d’une manière générale, un défaut de l’écriture elle est une des qualités essentielles de l’art oratoire.
Répéter un mot une expression, un argument doit se faire en variant le ton.
La répétition :
o   Facile la mémorisation
o   Valorise l’argument,
o   Met en évidence les points forts
o   Peut pallier un trou de mémoire
o   Permet de décrocher le regard du texte ou la lassitude.
Attention cependant l’abus peut engendrer comique ou lassitude.
III.3- Communication non verbale
Un discours vivant implique que le langage non verbal corresponde au message oral. Il est important que votre corps vienne renforcer la teneur de vos paroles. Il est toujours payant d’engager toutes ses ressources corporelles pour inspirer confiance à son auditoire et le convaincre de sa sincérité.
La façon de vous vêtir, vos postures, vos gestes, vos déplacements, vos mimiques, votre regard constituent autant d’éléments de votre patrimoine de communication. Ils permettent de mieux rentre en contact en général avec les autres et en particulier avec un auditoire. Ils peuvent contredire ou renforcer l’impact d’un message.
3.1 - Les territoires
On distingue 3 niveaux de territoires :
-          Le territoire tribal
-          Le territoire familial
-          Le territoire Personnel
Comme la majorité des animaux nous marquons en notre territoire, nous le balisons à la maison, dans les lieux publics, au restaurant.
  La relation est donc fortement dépendante du territoire. Tout changement influera sur l’interaction
En fonction des stratégies développées : confrontation coopération complicité, la place occupée autour d’une table va varier (face à face, à coté...)
3.2- La distance individuelle (proxémie).
 Nos geste nos postures nos comportements, nos mouvements délimitent la place  de notre corps dans l’espace.
Nous véhiculons notre espace vital que nous délimitions aux yeux des autres.  On peut définir plusieurs zones distinctes :
-          Zone intime (c’est la distance de l’avant-bras. Le contact physique y est possible. L’intrusion dans cet espace déclenche un sentiment d’insécurité et de gêne.).

-          Zone personnelle. C’est la distance d’un bras tendu quand deux personnes se rencontrent dans la rue, elles s’arrêtent ordinairement à cette distance pour bavarder.

-           Zone sociale (1.20m à 2.40) ou deux zones personnelles. Elle permet une communication verbale sans contact physique (ex guichet).

-          Zone publique rapprochée  (jusqu’à environ 8m) permet une information publique destinée à être entendue par un ensemble limité de personne.

-          Zone publique lointaine (+ de 8m). C’est la distance pour un discours dans une réunion publique, celle du comédien sur la scène de théâtre. Ici l’interlocuteur est spectateur, un récepteur passif.

Ces distances d’interaction varient suivant le contenu du message mais aussi suivant les individus, le niveau de relations et les cultures. 
La compréhension et l’apprentissage de ces rapports déterminants donc en partie le succès ou les difficultés de la communication.
Tout espace s’organise avec un dedans, un dehors. Il possède un centre, une frontière, une limite des zones privées, des zones publiques.
L’occupation de l’espace n’est jamais accidentelle.
Selon la culture, le milieu et les relations hiérarchiques, les distances varient, les zones se rétrécissent ou s’étendent.
La façon de pénétrer dans le territoire d’autrui  indique le rapport qui unit deux personnes  (supérieur – subordonné).
Dans la relation avec les autres par une meilleure communication, il est intéressant de bien percevoir :
o   Quelle zone préférentielle utilise l’autre ?
o   La cohérence entre la zone et ce qui est dit ?
o   A quel moment il y a un changement de zone ?

3.3- Les Postures.
Le langage  corporel élément principal du message non verbal reflète tour à tour des sentiments des convictions ou un degré de contrôle sur soi-même. Maitriser et jouer du langage corporel peut  vous aider à convaincre.
Vous tenir dans une position ferme et stable a tendance à rassurer l’auditoire. En effet, cette posture est interprétée inconsciemment comme signe de stabilité psychique. A l’inverse, certaines positions du corps signalent un malaise ou un manque d’assurance par exemple se tenir en arrière penché sur le côté en appui sur la pointe des pieds ou sur les talons. Ces postures influences défavorablement l’auditoire.
Pour combattre ces postures maladroites, voici quelques conseils.
-          Imaginez que vous êtes physiquement plus grand que d’habitude. Vous sentirez instinctivement votre corps se tendre vers le haut comme dominer la situation.
-          Pour que cette assurance ne soit pas prise pour de la suffisance avancez légèrement la tête en avant, comme pour vous rapprocher de votre auditoire. Vous éviterez ainsi de tenir la tête en arrière menton en avant dans une attitude de supériorité ou la tête baisée signe de timidité, d’insécurité de soumission.
Notre posture révèle notre état d’esprit. Elle est globalement perceptible et affecte cinq grandes zones de notre corps :
o   L a tête
o   Le buste
o   Le  bassin
o   Les jambes et les pieds
o   les gestes de bras et des mains.










A ces attitudes mises en œuvre correspondent des comportements corporels types : les postures.

Les postures
Les attitudes
-l’expansion (la tête, le tronc et les épaules  sont en extension, les bras ouvert)
-la contraction (la tête fléchie, coude au corps, épaule tombantes, dos vouté, position symétrique des bras et des jambes et des pieds)
-l’approche (l’inclinaison  en avant, cou tendu, bras en avant, pied en avant)
-le rejet  (corps de profil en recul, épaule hautes, tête détournée en récul)
-          La domination.

-          La soumission


-          L’action

-          Le recul la fuite.


Une posture partielle qui n’est pas à sa place dans une posture globale ou qui est en contradiction  par rapport à l’ensemble des autres postures partielles (ex coudes collés au buste alors que le reste du corps est en expansion) est appelée grimace :
-          Le décodage des postures globales
Des postures partielles
Des grimaces
Permet de repérer les attitudes dominantes dans une interaction.

Pour avoir une bonne posture, il faut répartir équitablement le poids de votre corps sur vous deux jambes et vous tenir solidement debout sur le sol. Les pieds doivent être séparés l’un de l’autre et se trouver dans le prolongement des hanches, cela exprime un sentiment d’assurance et donne une force de persuasion à votre discours.
L’attitude conseillée à un orateur debout se caractérise par une bonne tenue ; les mains occupent une position moyenne neutre, à partir de laquelle les gestes de la main sont plus faciles à réaliser.

En position assise évitez également de nouer les bras et ou les jambes des bras croisés sur la poitrine ou même ses jambes en crochet autour les pieds de la chaise indiquent une attitude de défense interne ou peuvent être interprétées come telle.

L’attitude conseillée en position assise se caractérise par une colonne vertébrale droite  (surtout ne pas  être affalé) ainsi que des bras ouverts.

3.4- Les Gestes.

Généralités.

Notre gestuelles améliore ou restreint notre capacité  de communication. La quantité de mouvements des mains et de bras pendant le discours diffère sensiblement  selon les individus  - le tempérament de celui qui parle est déterminant à ce sujet. Cependant les gestes en tant que langage des mains et surtout vus d’une certaine distance, agissent en principe comme un moyen d’expression particulièrement fort pour souligner ce qui est dit.
  
Le point de départ d’une bonne technique gestuelle est toujours la position centrale neutre : les mains se trouvent au-dessus de la ceinture.
-          Les gestes négatifs : Ils rendent difficile le passage au message.
-          Geste  parasites : Ils sont à côté du message.  Ils marquent l’émotion la peur, l’anxiété, la fatigue, l’agressivité…
-          Gestes barrières. C’est généralement une frontière dernière laquelle l’individu s’abrite ou se met sur la réserve.
-          Geste répétitifs. Ils deviennent  des tics et ils perturbent le message, le ridiculisent. 
-          Gestes introvertis : ils vont vers soi. Ils ne cherchent pas à convaincre l’autre mais à se persuader soi-même.
-          Les gestes positifs : Ils améliorent, soulignent, renforcent le message.
-          Gestes extravertis : Ils vont vers les autres sans être agressif. Ils cherchent le contact.
-          Gestes ouverts : ils offrent à l’échange à la discussion.
-          Gestes rond. Rassurent témoignent de la douceur
-          Les gestes précis. Fermeté de la pensée sureté. Ils affirment le message.
En général, le geste haut est un geste fort.

3.5- Les catégories de gestes :
Il existe deux catégories de gestes ceux qui accompagnent l’expression verbale et qui ne doivent pas être décodés seuls, et ceux qui existent en dehors de la verbalisation.
Les premiers peuvent être classés de la façon suivante :
Les gestes illustrateurs :
-          Quantitatifs : (ou quantifiant) : ils indiquent des dimensions des grandeurs.
-          Pointeurs : ils montrent du doigt comptent
-          Idéographes : ils décrivent dans l’air des concepts, des symboles et des abstractions (cercle = une entité….).
-          Kinétographes : Le corps entier est en mouvement. Il vit les mots.
-          Pictographes : ils dessinent  les objets dans l’espace.

Les gestes rythmiques
-          De ponctuation  (ou de scansion) ils régulent le rythme de notre propre verbalisation. S’ils sont fréquemment répétés, ils deviennent  lassants, cette uniformité nuit à l’écoute, c’est un bruit kinésique.
-          Régulateurs. Ils caractérisent l’écoute, ils accompagnent la verbalisation de l’autre ( ex hocher la tête pour approuver).
-          Les gestes adaptateurs :
o   Self-adaptateurs (gestes d’auto contact)
o    Adaptateurs objets (manipulation)
o   Hétéro-adaptateurs (toucher l’autre)
3.6 – L’amplitude du geste
Le coude est l’âme du geste son déplacement permet l’amplitude  et la variété. Il convient de bien étalonner les gestes que nous faisons. Cet étalonnage doit se faire sur les paramètres suivants :
-          La dimension : un geste large sera mieux perçu. La dimension sera fonction de la distance  qui sépare l’orateur  de son public.
-          Le contraste : des gestes identiques, de même intensité, de même dimension  finiront par lasser, e, donnant l’impression  de monotonie. Pour faire ressortir les expressions les unes par rapport aux autres, les gestes doivent être appréciées.
-          La hauteur : les gestes qui montent génèrent une connotation positive. Ils montrent des sentiments  de joie, d’ouverture, de volonté, d’optimisme, de combativité, Par contre, les gestes en bas sont connotés négativement, ils caractérisent des sentiments de faiblesse, de refus, de doute, de tristesse, de lassitude, de soumissions.
-          L’extériorisation : les gestes ne doivent pas être retenus. Ils traduisent lieux la sincérité, la volonté de communiquer, s’ils sont francs et non bloqués, ils doivent aller vers l’autre sans toutefois paraître agressifs. De manière générale, il faut aller au bout du geste.

3.6- Le contrôle des gestes

Les gestes autonomes : ils ne sont pas maîtrisables (ex sueurs, tremblement…).

-           Les mouvements des pieds et des jambes, ils sont très difficilement contrôlables, notamment en position assise (Il s’agit des parties les sincères du corps).
-          Les mouvements du buste, ils traduisent les comportements instinctifs d’approche et d’évitement, difficiles  à contenir (ex : avancées reculs, hauts –le-corps…).

Les gestes non codées, ils sont perçus comme plus volontaires (ex : geste non terminé traduisant l’erreur – les lapsus gestuels – l’hésitation, la non conviction….) ;

-          Les mouvements de mains et de bras, ils sont facilement maîtrisables après entrainement.
-          Les expressions du visage, elles se contrôlent aisément tant que les émotions ressenties n’atteignent pas une trop forte intensité.

Les gestes positifs pendants le discours sont les suivants :
-          La main ouverte  que vous tendez vers l’auditoire : elle donne l’impression que vous êtes sympathique. Elle transmet votre désir d’établir le contact avec le public.
-          Les deux bras que vous tendez vers le public : elles donnent l’impression que vous êtes ouvert et attentif.

Le visage et les mimiques   
 
Les mimiques peuvent être considérées comme les gestes du visage, l’expression du visage humain, elles accompagnent ou non la réalisation la verbalisation. Elles peuvent être autonomes traduisant alors les états affectifs ressentis.

Un moment particulièrement important pour l’utilisation consciente de la mimique est l’instant précédant le début du discours. L’expression de l’orateur encore silencieux devant le pupitre influence de manière décisive la disposition d’esprit du public. Ici un regard aimable, un sourire adressé à l’assemblée peut-être bénéfique.

Les six émotions principales du visage sont :

-          La joie,
-          La surprise
-          Le dégout
-          La tristesse
-          La peur
-          La colère.
A ces émotions correspondent des mouvements particuliers des yeux, des sourcils, des paupières, du front, des joues, de la bouche, des narines et du menton.

III.4- Le regard

Les yeux sont le miroir de l’âme le contact visuel avec le public fait partie des moyens  les plus importants de la communication  non verbale. La crédibilité de votre discours augmente avec l’utilisation consciente  du contact visuel.

Lorsque vous prononcer un discours, regardez ceux qui écoutent et vous regardent. Cela peut accroitre l’attention que le public vous porte et vous pouvez reconnaître à ses réactions l’impact de votre discours.

Ne faites pas semblant de regarder mais regarder vraiment. Regardez votre public avec amabilité et transmettez-lui à travers les gestes, les mimiques, le contact visuel, le sentiment que vous êtes heureux de pouvoir parler devant et avec eux.

4.1 L’importance du regard dans la communication.

 Par le regard toutes les expressions, toutes les volontés, tous les sentiments peuvent être transmis.

Le regard peut  être synonymes de
-          Partage, il traduit  la complicité (dans l’intimité par exemple) il est la preuve de l’attention que l’on porte à quelqu’un
-          Agression, il peut être violent (fusiller du regard) ou investigateur, voire violeur, en proxémie rapprochée notamment (fouiller dans les yeux, pour pénétrer dans l’intimité de l’autre).
-          Domination, il affirme l’autorité et requiert la soumission (regarder de haut) le statut s’exprime souvent par le regard.
Dans l’interaction, le regard peut-être fuyant (regarder ailleurs) ; les explications sont multiples :
-          La réflexion est favorisée par le déplacement du regard hors du champ de la réalisation directe ;
-          La recherche des mots ou d’idées et facilitée en regardant le plafond ses pieds.
-          Le besoin de prendre ses distances par rapport aux idées développées sera satisfait par un regard vers un autre lieu.
-          La nécessité de s’isoler pour reprendre des forces psychiatriques par exemple conduira à fixer son regard sur le point virtuel
4.2- L’utilisation du regard :
Le contact visuel est fondamentalement il permet :
-          De maintenir en éveil l’attention  de l’auditoire.
-          D’être présent aux autres
-          De percevoir les réactions du public.
Lors de la prise de parole en public, il faut regarder tout le monde en évitant les écueils suivant :
-          Balayer mécaniquement du regard sans jamais se fixer sur les personnes ;
-          Livrer le discours morceau par morceau en regardant certaines personnes pour les débuts de phrases et d’autres pour les fins de phrases.
-          Regarder une partie de l’auditoire plus longtemps qu’une autre
-          Rester les yeux pointés dans ses notes.
III.5- La TRAC
Le cerveau humain est une chose magnifique ; il fonctionne jusqu’au moment ou tu te lèves pour faire un discours « Mark Twain écrivain américain »
90% des orateurs ont le trac. Et cela est une bonne chose ! celui qui n’a pas le trac est déjà figé dans la routine. Cela n’est pas une bonne condition pour un discours vivant. Le trac est un phénomène normal.
5.1- Description du phénomène.
Le trac c’est la peur, l’angoisse que l’on ressent  avant d’affronter un public, de subir une épreuve. Il se dissipe progressivement dans l’action.
Les principales manifestations physiques


-          Langues desséchées
-          Transpirations moiteur
-          Tremblement
-          Sentiments d’oppression
-          Respirations accélérée
-          Gorge serrée
-          Palpitations
-          Houle  dans la gorge
-          Nœud à l’estomac
-          Crispation
-          Ballonnements
-          Picotements
-          Jambes molles
-          Crampes
-          Nausées
-          Envies d’uriner
-          Froid dans le dos
-          Paralysie.

Les conséquences sur la prise de parole :
Les mots ne viennent plus, les phrases s’assemblent mal, les répétitions sont fréquentes, le débit se ralentit ou s’accélère confusément.
-          Apparaissent les tics verbaux, les mots parasites :
-          N’est ce pas
-          Euh
-          Je v eux dire
-          Si vous voulez
-          Les bafouillages, les toussements, les raclements de gorge, les bégaiements se multiplient.
-          Les gestes parasitaires s’amplifient (auto-contacts)
Les raisons du trac.
-          La crainte d’être jugé par le public ou l’inspecteur ;
-          La peur du décalage entre l’image que je pense donner de moi et l’autre idéale à laquelle j’aimerais me conformer.
-          L’enjeu lié à la situation.
C’est le trac qui paralyse le plus l’orateur toute de suite tout au moins au début de son discours. Le trac est un phénomène inévitable, causé par la nature de l’auditoire, la peur d’être jugé, le manque de confiance dans le message à faire passer, la peur des trous de mémoire, le cadre de présentation. Physiquement le trac entraine un certain  nombre de réactions en chaines ? Les glandes modulo-surrénales   sécrètent la fameuse adrénaline qui élève la tension artérielle, le taux de sucre dans le sang et celui des globules rouges. Le système nerveux accélère le rythme du cœur et le thalamus échappe plus ou moins au contrôle cortical. 
Si au début dette tension est bénéfiques, à la longue, elle paralysie. Dès la première minute de son exposé, le manager orateur doit avoir trouvé les moyens de vaincre le trac. 
Très souvent, on a le trac parce que :
-          Vous vous sentez inférieur aux auditeurs
-          Parce que vous constatez que la position dans laquelle vous devez vous exprimez a été modifier
-          le groupe de participant ou le local est plus grand ou plus petit que ce vous espérer.
-          Vous n’êtes pas bien préparé dans vos recherches et vous avez peur d’être confondu.
-           Vous imaginez que le public attend une erreur de votre part
-          C’est à la dernière minute que vous avez pu rédiger quelques choses.
Comment maitriser son TRAC
Les constats :
-          On ne peut pas supprimer le Trac mais on peut le maîtriser rendre ses manifestations plus facilement supportables
-          Toutes expériences nouvelles de prise de parole, toute situation inédite peut faire réapparaitre le TRAC.
-          La situation peut être nouvelle par l’auditoire, le lieu, l’enjeu de la prise de parole.
Quatre principes facilitent la gestion du Trac :
-         Bien se préparer
 Commencer à préparer très tôt vos discours. Ce qui vous permet de maîtriser votre excitation.
-           Faire un plan
-          Rédiger les points forts
-          Préparer quelques phrases introductives à apprendre par cœur.
-          S’entrainer
-          Repérer les lieux
-          Ne rien changer à ses habitudes.
Améliorer sa respiration
Il s’agit de respirer :
-          Profondément pour ventiler son corps et oxygéner muscle et cerveau.
-          Régulièrement pour éviter que la machine s’emballe.
 Il existe différents types de respiration :
-          La respiration claviculaire : est celles des grands sportifs. C’est une respiration violente et saccadée. L’air pénètre avec la force dans les poumons, n’a pas besoin de se réchauffer, assèche la bouche et irrite les cordes vocales.
-          La respiration diaphragmatique, plus naturelle et aussi plus adaptée à la pratique du discours. Ici l’air rentre et sort de la simple action du diaphragme vers l’avant. Pour  expirer, on  pousse le diaphragme vers l’avant ; pour inspirer on laisse se remettre naturellement à sa place. Pour avoir conscience de cette respiration, il faut accentuer cette impression de respirer par le ventre, les poumons se remplissent par la base. Vous pouvez vous assurer que la respiration diaphragmatique est bien en place en vérifiant que vous ne sentez aucune tension musculaire dans les épaules, les genoux, les hanches.
Pour caricaturer ces deux types de respiration, on peut dire que la respiration claviculaire  s’effectue par le haut tandis que la respiration diaphragmatique s’effectue par le bas.
La respiration diaphragmatique présente trois avantages essentiels lorsqu’on parle en public :
-          Elle permet à l’air de pénétrer naturellement sans à-coup ;
-          Le sang est d’autant mieux oxygéné
-           Et surtout le Trac est réduit, voire inexistant.
 Se relaxer physiquement
Avant l’intervention :
-          Prendre conscience des muscles  inutilement contractés (épaules cou, nuque omoplates, reins, abdomen..)
-          Les décontracter progressivement
-          Détendre le visage (muscles entourant la bouche, sourcils joues..) .
-          Changer de posture si c’est possible.
-          Respirer lentement à fond.
Se relaxer mentalement
Le  principe consiste à projeter sur son écran mental des images associées à des moments agréables ou des situations imaginaires passibles rassurantes.
Si on considère que le Trac est dû aux images angoissantes du type, je vais me bafouiller, je ne vais pas savoir que dire, je suis moche… la relaxation mentale suggère non pas de rationaliser ces images négatives mais de les remplacer.
S’entrainer régulièrement en variant les mises en situation :
Il faut profiter de la moindre occasion pour prendre la parole : tout rassemblement peut vous en offrir l’occasion que ce soit au travail ou dans vos autres activités. Essayer de vous fixer des contrats du genre « au cours de cette réunion, je prendrai la parole avant la fin des 10 premières minutes et la garderai au moins 3 minutes.
L’apparence
Ce n’est pas l’argument, mais plutôt la personne qui persuade.
Votre apparence détermine la première impression que le public se fait de vous. En plus des facteurs comme le mimique, les gestes, la posture et le contact visuel, des signaux artificiels tels que la coiffure, l’habillement, les bijoux, les lunettes, le maquillage et les accessoires de toutes sortes font également partie de l’apparence. Vous ne devez pas non plus laisser le choix de ces signaux artificiels au hasard. Il y est accordé plus d’importance que vous ne le croyez.
Cinq conseils sur l’apparence :
-          Lorsque vous ne savez pas avec certitude si le motif du discours permet le port de vêtement de loisir, d’un ensemble ou d’un costume optez pour la version la plus élégante. Il est préférable d’être overdressed  que d’avoir une mise trop décontractée. Eviter en outre les tenues hypermodernes.
-          Choisissez exclusivement des tons de couleurs discrets jamais des couleurs trop vifs, ils ne font que détourner l’attention du contenu du discours. Ce pendant rien ne s’oppose à une touche multicolore joyeuse. 
-          Les femmes doivent veiller à ce que leurs bijoux et leur maquillage soit discrets. Vos coiffures et vos chaussures ne doivent pas vous gêner.
-          Votre tenue doit être confortable et ne pas vous serrer
-          Les couleurs de vêtement de bas doivent être assorties les unes aux autres.
Il est  à retenir fondamentalement que votre doit souligner votre rayonnement personnel. Votre objectif devrait être de vous créer un style personnel et unique qui d’une part puisse vous caractériser  positivement et dans lequel vous vous sentez toujours bien.



Méthodologie de la recherche.

Description
La démarche scientifique de recherche. Théorie hypothèse Méthodes principales de recherche  Analyse des données. Test des hypothèses.
Objectif général
Appréhender les différents types de recherche scientifiques  en vue de son application professionnelle.
Objectifs spécifiques
-          Comprendre les enjeux et les finalités des la recherche
-          Connaître les principales méthodes de recherches
-          Maitriser les principales étapes de la démarche scientifique
-          Se familiariser avec les techniques et les outils de recherche
Méthodes pédagogiques.
-          Cour magistral
-          Travaux pratiques et de recherches 
-          Réalisation du protocole de recherche (évaluation finale).
Plan du cours
Première partie : Du Mémoire

I)                   Qu’est ce que le Mémoire
II)                Les  types de recherche et de mémoire
II-1. Les types de recherche
1.1- La recherche -diagnostic
1-2. La recherche explicative  
II.2 Le type de mémoire à réaliser : le mémoire  professionnel
2-1 : Le mémoire professionnel simple
2.2 : le mémoire –Projet
2.3 : le mémoire étude de cas
Deuxième  Partie : Du contenu du Mémoire 
III) De la réalisation du mémoire professionnel
3.1- La direction du mémoire professionnel.
3.2.-Modalités pratiques de suivi de mémoire professionnel.
3.2.1-Les obligations de l’élève.

IV la forme du mémoire
4.1- Présentation physique
4.1.1- Volume
4.1.2- Format et Logiciel
4.1.3- Reliure
4.1.4-Couverture et page de garde
4.1.5-Tailles des caractères et impression.
4.1.6- Pagination
4.1.7-Interligne et espacement
4.1.8-Illustrations-tableaux- Figures – et autres
4.1.9- Harmonie des couleurs et propreté.
4.2 - Ordonnancement du mémoire.
4.2.1 Page de couverture
4.2.2- Page de garde
4.2.3- Identification du jury
4.2.4- Déclaration d’engagement de l’auteur
4. 2.5-Dédicaces
4.2.6 –Remerciements
4.2.7-Liste des sigles et des abréviations.
4.2.8- Liste des tableaux des figures et des tables des matières
4.2.9- Glossaire de l’étude
4.2.10- Résumé
4.2.11-Sommaire
4.2.12- Avant propos du mémoire.

V  - Du texte principal (exigences de fond du mémoire)
5.1- Introduction générale.
5.2 -Cadre institutionnel et physique de l’étude.
5.3-Etats des lieux ou observation du stage.
5.4-Problématique d’étude en recherche-diagnostic.
5.5-Présentation et justification du thème du mémoire
5.6-Spécification de la problématique.
5.7- Vision globale et séquence de résolution de la problématique
5.8- Objectifs en recherche diagnostic et en recherche-diagnostic
5.9- Hypothèse en recherche diagnostic
5.10-Revue de littérature
5.11-Méthode de la recherche
5.12-Collecte et traitement des données (enquêtes et revue documentaire dépouillement et présentation des données)
12.1-Enquête comme moyen d’investigation.
12.2 –La revue documentaire comme moyen de mobilisation des données Vérification des hypothèses
5.13- Analyse des données (vérification des hypothèses et établissement  du diagnostic)
13.1Vérification des hypothèses
5.14- Diagnostic et solutions
5.15-Conditions de mise en œuvre des solutions
5.16- Conclusion générale
5.17- Cohérence d’ensemble du mémoire


Troisième Partie : les exigences rédactionnelles du mémoire.

VI : Indication rédactionnelle  du mémoire professionnel
6.1-De l’introduction à la conclusion
6.2-Au niveau de la bibliographie
2.1-Article publié dans un journal (revue scientifique)
2.2-Article publié dans un livre (quel que soit le nombre d’auteurs  cas de l’ouvrage collectif)
2.3-livre (quel que soit le nombre d’auteurs)
2.4- Cahier de recherche (quel que soit le nombre des auteurs)
2.5- Document non publié (Mimographe)
2.6-Document tiré sur internet.
6.3-Les annexes.
6.4-Style et l’expression
6.5- Autres exigences relationnelles.

Quatrième partie : De la soutenance à publication du mémoire.

VII-Procédure et préparation des soutenances de mémoire professionnel
7.1- Le Dépôt des mémoires
7.2Composition et identification des jurys.
7.3Distribution des mémoires

VIII-Etapes et préparation de la soutenance de mémoire professionnel
IX- Outils et procédure d’évaluation des mémoires
9.1-La grille d’évaluation
9.2-Evaluation de la dimension écrite du mémoire
9.3-Evaluation de la dimension orale (soutenance)
9.4-Note finale et recevabilité. Du mémoire

X-Autres considérations sur les mémoires
10.1-diffusion des mémoires
10.2-Echange interuniversitaire des mémoires

Conclusion
IV - Quelques techniques de l’exposé oral ou comment vendre une idée.
1.1 – La préparation de l’exposé



 






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