lundi 16 janvier 2012

LE SUIVI ET L' EVALUATION D'UN PROJET


Plan

Introduction
I-                  Suivi
A-définition
B- Types de suivi


II-               Evaluation
A-définition
B-Approches d’évaluation
C-Évaluation d’un plan de communication


Conclusion






INTRODUCTION

Le suivi et l’évaluation des activités d’un projet est la dernière étape  du processus de planification et de mise en œuvre d’une stratégie de communication pour le développement. Ils sont des outils pour identifier les points forts et faibles et pour prendre de bonnes et opportunes décisions.
Ils sont essentiels pour juger de la progression réalisée en direction des objectifs et des résultats.
Le suivi et l’évaluation permettent d’améliorer la performance  et d’obtenir des résultats.
Plus précisément, le but général du suivi et de l’évaluation est de mesurer et d’évaluer la performance. (La performance se définit comme la progression vers la réalisation de résultats.)











































I – suivi

A-définition
Le suivi est bien plus que la simple collecte de l’information sur le projet mais aussi le traitement des données sur la mise en œuvre .L’évaluation est un processus qui vise à déterminer de manière aussi systématique et objective que possible, la pertinence, l’efficacité, l’efficience, les mérites (la valeur ajoutée), la durabilité et/ou l’impact d’une intervention, d’un projet ou d’un programme. Elle vise à fournir des informations précieuses pour la gestion, à juger la valeur et les mérites d’une intervention et à tirer des leçons pour des actions et une prise de décisions futures. Sa finalité est d’identifier les anomalies et d’apporter des corrections.

B- Types de suivi
Le suivi peut s’appliquer à toutes les activités administratives d’un programme. Deux types principaux de suivi existent :
a. Le suivi de processus : il mesure les moyens par lesquels les objectifs sont atteints ; ceci inclut l’utilisation des données saisies, l’information sur le progrès des activités et la façon dont les activités sont menées.
b. Le suivi de l’impact : il examine l’impact des activités du projet sur les objectifs.
Tous les systèmes de suivi devraient incorporer à la fois un suivi des processus et un suivi des impacts. [Les systèmes plus sophistiqués peuvent aussi réaliser un suivi du contexte du projet, généralement en analysant l’hypothèse sur laquelle le projet est basé (elle se trouve dans le Cadre logique du projet)]. Retenons aussi que le suivie  peut être technique et/ou participatif.
Le suivi peut démarrer à tout moment, mais il est préférable de l'entreprendre dès le début du la conception du plan  et de le poursuivre jusqu'à la fin. Toutefois, si un programme en cours n'a pas prévu de suivi, il est toujours possible et souhaitable de le commencer.

Différents types de données utiles peuvent être recueillis comme par exemple

- le  type problème que notre plan de communication désire résoudre
- le but et l’objectif de la communication
- la cible
-le message clé, les canaux de communications  et la stratégie en exécution.

Lors de la mise au point/de l’amélioration d’un système de suivi, les points suivants doivent être pris en compte :
1. Les objectifs du système de suivi
2. La sélection de l’information et des indicateurs pertinents
3. La collecte des données pour le suivi
4. L’analyse des données
5. La présentation de l’information
6. L’utilisation de l’information
7. L’entretien du système de suivi.
Une fois les informations collectés, ceux-ci  seront comparés, ceux des activités panifiés à ceux des activités réalisés en vue d’en ressortir les écarts, de les expliquer et de prendre des mesures correctives.
II-Evaluation
A-Définition
Evaluer, c’est estimer à un moment donné dans le temps l’impact de la mise en œuvre du plan de communication, et à quel point les objectifs ont été atteints.
Elle nécessite une évaluation systémique de la mise en  œuvre (efficacité, efficience, impact et autres.)
Pour qu’une évaluation puisse être entreprise, les éléments suivants sont nécessaires :
· Des objectifs clairs et mesurables.
· Des indicateurs clés qui montrent le progrès réalisé.
· Des données permettant, à l’aide d’indicateurs, d’établir si des changements ont eu lieu
Si ces facteurs ne sont pas définis, l’évaluation n’est pas possible. Dans ce cas, un examen moins rigoureux sera plus approprié.
B-Approches d’évaluation
Il existe différentes approches et méthodes d’évaluation. Ces approches sont :
1. Les approches participatives :
 a.  Avec la participation du personnel
 b.  Avec la participation des personnes concernées par les projets
 L’expérience de participation à l’évaluation du projet, ainsi que les techniques et la compréhension acquises par le personnel durant ce travail, ont souvent autant de valeur pour le futur du programme que les conclusions tirées du projet.
2.  Les approches non-participatives : dirigées par des évaluateurs extérieurs

Le but de ces approches est de juger objectivement et de manière renseignée du progrès, des réalisations et de l’impact du travail. L’objectif est de tirer des conclusions de l’étude et de faire des recommandations au directeur au sujet des orientations futures du projet. 
3.  L’évaluation conjointe : une équipe interne et externe au projet dirige l’évaluation.
C-Évaluation d’un plan de communication

Pour évaluer un plan de communication, notre réflexion doit aborder les trois grandes phases du plan de communication selon les séquences suivantes.

La stratégie établie répond-elle correctement à l’objectif marketing ? Mérite-t-elle d’être revue ?
Pour cela, demandez-vous si les objectifs de communication sont atteints.
S’ils le sont, demandez-vous si les objectifs de communication sont corrects et s’ils sont en adéquation avec les objectifs marketings.
Si cela n’est pas le cas, cherchez à comprendre où est la faille dans le raisonnement stratégique. Comparez-le à celui de vos concurrents les plus proches.

La création est-elle adéquate ?
Posez-vous à nouveau les questions de jugement créatif.
Vous jugerez alors des créations réalisées et non plus des maquettes, ce qui peut avoir une incidence. Il arrive parfois que la réalisation des idées créatives (shooting ou choix des visuels définitifs, tournage des spots, mise en pages des publicités, print…) apporte une déviance au niveau de l’idée et/ou de sa compréhension.

Les choix opérationnels sont-ils les mieux adaptés ?
Les moyens mis en place ont-ils été efficaces ou bien doivent-ils être revus ?
Plusieurs questions successives sont à se poser.
Le budget vous semble-t-il suffisant ?
Comparez-le à celui de vos concurrents proportionnellement aux parts de marché.
Le rapport entre l’investissement nécessaire et la part de marché n’est pas forcément exactement proportionnel. Les premiers pas d’une marque ou d’un produit demandent proportionnellement plus d’investissement que par la suite. Il y a une sorte d’inertie dans les résultats quand on part d’une notoriété quasi nulle ou d’une image dégradée.
A contrario, une bonne notoriété et/ou une image bien construite sont des atouts supplémentaires qui améliorent l’efficacité publicitaire.
Les moyens retenus sont-ils les plus pertinents ?
Posez-vous la question pour chaque canal de diffusion du message.
Quels sont ses atouts, ses limites ? Le choix est-il justifié ?
Posez-vous la question de la synergie entre les moyens retenus. Sont ils complémentaires ou redondants ? Leur utilisation conjointe est elle positive ?
N’y a-t-il pas trop de canaux de diffusion, ce qui imposerait un budget peut-être trop faible pour certains d’entre eux. Le calendrier d’action est-il logique ?
Les vagues de communication sont-elles placées aux moments les plus opportuns ? La durée de chaque vague et les montants investis sur chacune d’entre elles sont-ils à revoir ?
Là encore, établissez des comparaisons avec vos concurrents les plus proches.                            

1-      Effectuer des post-tests sur le fonctionnement de la campagne

Il existe toute une série de tests possibles à effectuer après la fin de la campagne de communication. Ces tests, réalisés par des sociétés d’étude spécialisées, peuvent se révéler coûteux. Ces post-tests vont chercher à mesurer l’impact de la campagne auprès du cœur de cible. Ce sont des études quantitatives effectuées auprès d’un échantillon représentatif du cœur de cible, par téléphone ou internet dans la plupart des cas. Elles peuvent également s’effectuer en face à face.
POST-TEST
Test pratiqué pendant ou après l’exposition à une campagne publicitaire dans le but d’en évaluer les effets et/ou les résultats sur la cible

Mesure d’impact
Deux manières de le faire : impact spontané et impact assisté. Impact spontané
On pose la question suivante : « Au cours des six derniers mois, avez-vous vu une campagne pour… (Catégorie de produit) ? Pouvez-vous citer la marque ? Quel en était le message ? »
On en déduit le score prouvé, c’est-à-dire le pourcentage de réponses positives avec restitution d’au moins un élément de la campagne et de la marque. Impact assisté on montre la campagne en cachant le produit et la marque. On pose la question suivante : « Avez-vous vu cette campagne au cours des six derniers mois ? Si oui, vous rappelez-vous de quel produit, quelle marque il s’agissait ? Dans quels médias, quels supports ? »

Autres scores mesurés en post-tests

Score d’attribution

C’est le pourcentage de personnes interviewées qui attribuent correctement la campagne à la marque et/ou au produit. Par déduction, le score de confusion.

Score d’agrément

C’est le pourcentage de personnes interviewées qui ont apprécié la campagne (beaucoup, moyennement, un peu…).

Score d’incitation

À l’achat : pourcentage de personnes interviewées ayant été influencées par le message au point d’aller acheter le produit et/ou la marque ou ayant l’intention de le faire. Il existe pour chaque marché des scores moyens, appelés « standards du marché ». On compare les scores obtenus pour votre campagne aux scores standards du marché. On évalue ainsi les performances de la campagne.

Est-ce nécessaire ?

Effectuer un contrôle feed-back sur les choix stratégiques, créatifs et opérationnels est indispensable. Cela peut se faire en interne, à condition de prendre suffisamment de recul par rapport aux choix initiaux.
Réaliser des post-tests de campagne n’est pas indispensable, mais préférable dans la majorité des cas.
Les études d’image et de notoriété permettent de mesurer les effets réels sur les cibles et d’observer les évolutions. Elles sont intéressantes, s’il existe un point zéro, c’est-à-dire une référence de ces mesures avant la campagne. Si ce n’est pas le cas, ces mesures sont à faire en fin de campagne et serviront de point de référence pour la campagne suivante.
Les post-tests de campagne, quant à eux, ne sont pas indispensables.
Cependant, sur des marchés très concurrentiels, évoluant rapidement, ces post-tests permettent de rectifier très vite les écarts et de ne pas perdre de temps dans la course aux parts de marché.

Pour quel usage ?

Les post-tests et autres études et analyses après campagne n’ont de sens que pour comprendre le fonctionnement du marché, des consommateurs, des messages, des concepts, et ainsi améliorer les campagnes suivantes. Il ne faut pas les concevoir comme des résultats sanction de ce qui aura été réalisé, mais comme le moyen de capitaliser sur ses expériences et de mieux faire par la suite.
La communication est une science de l’humain, donc délicate. Concevoir une campagne n’est pas un raisonnement mathématique. Il faut donc, malgré tout le professionnalisme et l’exigence dont vous avez fait preuve, rester modeste et attentif à tous les signes et signaux du marché, afin d’améliorer votre communication

2-      METTRE EN PLACE UN PLAN DE VEILLE

Un plan de veille, à quoi ça sert ?

À plusieurs reprises, nous avons raisonné par comparaison avec vos concurrents directs. À plusieurs reprises, nous avons mentionné l’évolution des outils de communication, des comportements et habitudes des consommateurs, des tendances du marché, de vos cibles.
Dans la communication, tout bouge à chaque instant : le consommateur se laisse influencer ou génère de nouvelles tendances, de nouveaux insights. Vos concurrents font évoluer leurs plans de communication. Les médias et autres outils de communication apportent de nouvelles opportunités. C’est pourquoi, les décisions concernant la stratégie, la création et les moyens de votre plan de communication vont, elles aussi, changer. Pour gagner du temps et de l’efficacité, lors de votre prochain plan de communication, mettez en place un plan de veille.

Concrètement, comment faire ?

Avant tout, il faut du temps. Effectuer une veille ne nécessite pas forcément de commander des études à l’extérieur, ou bien de prendre des abonnements pour obtenir des banques de données. Un peu de bon sens, d’organisation, de la documentation et du temps vous permettront de démarrer.

Définir votre cible
Vous avez déterminé une cible de communication et un cœur de cible.
Suivez-les ! Pour cela, la lecture de revues professionnelles, la recherche sur des sites ou des blogs internet, quelques interviews face
à face… vous permettront de suivre leur évolution.

Repérer les actions de vos concurrents
Faites la pige des campagnes de vos concurrents directs. Gardez leurs créations.
Estimez le montant de leurs investissements en communication. On peut acheter quelques chiffres ponctuels auprès d’instituts d’études comme Secodip ou TNS Sofres. Les revues professionnelles, les syndicats professionnels et internet donnent certaines de ces informations.
Reconstruisez leur plan de communication, avec les périodes d’activité, les médias, les supports, les montants investis. Remontez leur stratégie. Quelle est leur cible ? Leur message ? Quels sont leurs objectifs de communication ?

Les nouveaux moyens de communication

Vous ne connaîtrez jamais de façon exhaustive tous les médias, tous les supports, mais tenez vous informé des grandes nouveautés et tendances en la matière. Là encore, les revues professionnelles vous apporteront quantité d’informations.

Comment l’exploiter ?

Systématisez les recherches, c’est-à-dire, désignez une ou plusieurs personnes et dégagez-leur du temps. Compilez l’information et prévoyez un accès facile. Les moyens informatiques facilitent largement ces étapes. Faites une réunion synthétique annuelle avant d’entamer la réflexion sur le nouveau plan de communication. Cette réunion doit mettre toutes les personnes concernées par la communication au même niveau d’information. Elle doit donner une photographie des communications concurrentes, des cibles et des moyens de communication.

3-      ANTICIPER LES PROCHAINES ÉTAPES

Communiquer c’est aussi un choix à moyen et long terme
Établir un plan de communication est un véritable choix d’entreprise. Rien ne sert de communiquer une fois, un mois, une année. Seule la persévérance, la répétition, la longévité vous assureront un véritable retour sur investissement. Si vous choisissez de ne faire qu’une campagne, puis de stopper vos investissements, pensant que vous avez fait votre travail et que, maintenant, c’est au consommateur de répondre et de réagir, c’est une grande erreur. Vous aurez dépensé de l’argent pour rien ou pour peu de résultats. Les vrais résultats ne pourront s’obtenir qu’avec de l’assiduité. Communiquer c’est installer une relation pérenne entre votre marque ou votre entreprise et votre public-cible. Cette relation, pour durer, doit être entretenue régulièrement. Entretenir régulièrement une relation avec son consommateur, c’est établir un plan de communication très précis sur douze mois comme nous venons de le voir dans les chapitres précédents, mais c’est aussi prendre du recul et le temps de réfléchir à des étapes indispensables jusqu'à un horizon de trois ans minimum.
Nous vous conseillons, dès la première année, de programmer vos actions à moyen et long terme de la façon suivante :
• Un plan de communication établi dans le détail pour les douze mois à venir.
• Un programme d’actions inscrites dans un calendrier sur les deux années suivantes.
Ce programme est la suite logique de vos douze premiers mois de communication. Il ne doit pas être aussi détaillé, mais il doit prévoir les actions logiques, dans la continuité de ce que vous avez entrepris en année 1.
Ce programme doit être cohérent et complémentaire à celui de la première année. Il pourra réitérer certaines actions et en contenir d’autres qui n’ont pas été retenues en année 1, parce qu’elles nécessitaient une première étape, ou tout simplement pour des raisons budgétaires.
Ces actions prévues pour les années 2 et 3 seront bien sûr à revoir en fin d’année 1, après le bilan du premier plan de communication.
Elles ont le mérite d’exister, de montrer la continuité de votre projet, mais elles seront à revoir après la première expérience.

• Des objectifs à cinq ans (voire plus), afin d’avoir une vision projective de ce que vous voulez faire de votre marque à long terme.
La réflexion et la rédaction de ce projet, de cette vision de votre marque sont indispensables car elles vont vous guider pour votre premier plan de communication.
Les ressources
Vous avez mis en place votre premier plan de communication.
L’expérience de cette année 1 vous a permis de constater et de mesurer plusieurs éléments.

Le temps nécessaire pour concevoir, concrétisé, mettre en œuvre et  suivre ces opérations
On sous-estime toujours le temps à consacrer à ces opérations. On pense souvent que cela peut venir compléter la mission d’un ou deux collaborateurs. Donnez-vous les moyens de le faire correctement, et d’y consacrer le temps nécessaire. En effet, un plan de communication dont la mise en œuvre est bâclée, par manque de temps, est une véritable catastrophe. Il vaut mieux ne pas communiquer que mal communiquer. La communication d’une marque ou d’une entreprise ne souffre aucune approximation et chaque étape de la réalisation du plan est indispensable. Une seule étape négligée et c’est l’ensemble du travail qui sera au mieux sans effet, au pire porteur d’effets négatifs (par exemple sur l’image de l’entreprise).

Le personnel pour le faire

Au-delà du temps, il faut savoir faire. Vous le savez maintenant, la communication suit un certain nombre de règles. Elle ne s’improvise pas.
Des aptitudes personnelles peuvent faciliter la maîtrise des techniques, mais elles ne sauraient remplacer leur apprentissage.
Faites le point sur les besoins en formation des personnes en charge du plan de communication.

Les ressources financières
Vous avez l’expérience d’un premier budget. En fin de campagne, vous avez fait le bilan pour savoir si vos objectifs sont atteints.
S’ils le sont, c’est que votre budget était correct. Demandez-vous cependant s’il n’est pas trop élevé et si certaines économies sont possibles, mais ne remettant pas en cause la qualité de votre communication.
S’ils ne le sont pas, vous avez dû en diagnostiquer les causes (chapitre sur l’évaluation du plan de communication). Si la cause en est les ressources budgétaires, il faut anticiper sur le budget de l’année suivante et prévoir des ressources financières plus importantes.

Les études récurrentes

Cette première expérience a mis en exergue votre manque d’information et les lacunes sur certaines données qui se seraient avérées fort utiles pour établir le diagnostic en amont de votre réflexion et prendre les décisions relatives à votre plan de communication.
Avant d’envisager le plan de communication de l’année 2, vous pouvez mettre en place des études récurrentes qui vous permettront de suivre certains indicateurs, dans le but d’ajuster vos objectifs et vos budgets de communication.
Ces études peuvent être des enquêtes de satisfaction auprès de vos clients, le calcul d’un taux de fidélité, des points d’image de votre marque ou de votre entreprise, de celles de vos concurrents, la notoriété de votre marque… La question à se poser est la suivante :
Quelles sont les informations dont j’ai besoin pour répondre aux questions stratégiques du chapitre 3 ? Pour ajuster mes décisions en année 2, quels éléments dois-je impérativement connaître ?
L’empathie, la connaissance des destinataires de vos messages, la compréhension de vos cibles, sont vos meilleurs atouts pour réussir votre plan de communication.

2 commentaires:

  1. Indépendamment des thérapies de dépôt injectables orales ou futures, elles nécessitent des visites médicales afin de prendre des médicaments et de surveiller la sécurité et l’intervention. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans que le système immunitaire du corps ne le détecte. Par conséquent, même lorsque le traitement antirétroviral bloque complètement les cycles ultérieurs d’infection de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» pourrait signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer du poumon, du cancer du sein, du cancer colo-rectal, du cancer du sang, du cancer de la prostate, de la scoliose, de la fibromyalgie et de la toxicité de la fluoroquinolone
    Syndrome Fibrodysplasia Ossificans Progressiva.Fatal Familial Insomnia Factor V Leiden Mutation, Maladie de Epilepsy Dupuytren, Desmoplastic, petite tumeur à cellules rondes, Diabète, Maladie de Blé carcinome.Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, HPV, Tous les types de cancer, Diabète, Hépatite, j'ai lu sur lui en ligne comment il a guéri Tasha et Tara, je l'ai donc contacté à drituaherbalcenter@gmail.com / info@drituaherbalcenter. com. même parlé sur whatsapps 2348149277967 crois-moi, c’était facile j’ai bu son médicament à base de plantes pendant deux semaines et j’ai guéri comme ça, le Dr Itua n’est-il pas un homme étonnant? Oui il l'est! Je le remercie beaucoup et je vous conseillerai donc si vous souffrez de l'une de ces maladies. Veuillez le contacter, c'est un homme bien.

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  2. Opportunité de prêt offerte par M. Benjamin qui sauve ma famille de la servitude financière {lfdsloans@lemeridianfds.com}

    Bonjour à tous, je suis la mère célibataire de Putri Adiratnaa de Jakarta, je voudrais partager ce grand témoignage sur la façon dont j'ai obtenu un prêt de M. Benjamin, lorsque nous avons été chassés de notre maison alors que je ne pouvais plus payer mes factures, après se faire arnaquer par diverses sociétés en ligne et refuser un prêt de ma banque et d'une autre caisse populaire que j'ai visitée. Mes enfants ont été pris en charge par la famille d'accueil, j'étais tout seul dans la rue. Le jour où j'ai honteusement rencontré un camarade de classe qui m'a présenté Daisy Maureen. Au début, je lui ai dit que je ne suis plus prête à prendre le risque de demander un prêt en ligne, mais elle m'a assuré que je recevrais mon prêt de leur part. Dans un second temps, en raison de mon itinérance, j'ai dû faire un essai et demandé le prêt, heureusement pour moi, j'ai reçu un prêt de 80 000 $ de M. Benjamin. Je suis heureux d'avoir pris le risque et demandé le prêt. Mes enfants m'ont été rendus et maintenant je possède une maison et une entreprise à moi. Tous les remerciements et gratitude vont au service de financement Le_Meridian et à l'aide de M. Benjamin pour m'avoir donné un sens à la vie alors que j'avais perdu tout espoir. Si vous recherchez actuellement une assistance de prêt, vous pouvez les contacter via: {lfdsloans@lemeridianfds.com} ou WhatsApp + 1-989-394-3740

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